Nous avons besoin d’une révision sérieuse du contenu spirituel de l’Église.
Au cours de ses années de ministère, l’auteur Verlon Fosner a découvert une vérité surprenante : le pouvoir des histoires de Jésus à captiver l’imagination des laïcs.
Les agnostiques et les athées s’en tiennent à l’enseignement biblique habituel, mais ils aiment parler de la vie du Christ.
Racontez-leur une histoire et ils se penchent en avant.
L'église ? Bof.
Jésus ? Parlons-en.
En tant que pasteurs et dirigeants de la foi chrétienne, on nous a appris à formuler nos sermons et nos enseignements sur la base de principes modernes d’interprétation en utilisant des mots et des concepts aussi importants que l’herméneutique, l’exégèse, la contextualisation et l’étymologie, tous construits sur une base de théologie systématique.
Bien que ces éléments soient utiles, de quoi se souvient-on ? Et qu'apprécient les laïcs ?
Quelque chose de beaucoup plus simple : les histoires de Jésus.
Les premiers disciples étaient absorbés par les paroles et les détails de ce qui s'était passé lorsque Jésus était sur terre. Cela transparaissait dans leurs conversations, leurs prédications, leur évangélisation et leur discipulat. Jésus savait que cela arriverait aussi. Lorsqu'il racontait une histoire, même les pécheurs l'écoutaient. C'est pourquoi il a dit à ses premiers disciples de privilégier ses paroles et ses récits. Ce sont les seuls matériaux spirituels sur cette terre suffisamment solides pour résister à la tempête.
Si nous, l’Église, voulons retrouver la puissance de l’Évangile et la capacité d’attirer l’attention d’un monde séculier, nous serions sages de nous recentrer sur l’objectif des 468 histoires de Jésus.
